Suite aux derniers évènements, j'ai pensé qu'une piqûre de rappel ne ferait pas de mal.
Travail : n.m : Le travailleur est une espèce en voie de disparition. Ses ennemis : WoW (il est en ce sens remarquable de voir que toutes les notes des "Woweurs" additionnées n'atteignent pas 20) et les taches de rousseur (excuse-moi Cazou).
"Le travail c'est la santé" dit-on. J'en déduis donc que certains ne passeront pas 25 ans. C'est vrai, c'est dur de travailler. C'est dur de soulever cette petite barre de plastique que l'on nomme stylo (ça vous rappelle quelque chose non? Personne ne se souvient de ce nom? Non, bon alors je continue). Ensuite, principale difficulté, remettre en marche cette zone de votre corps qu'on appelle CERVEAU, zone si longtemps anesthésiée par le truchement de grands coups de blutoir de MMORPG neurasthéniques et lobotomisants. Mais une fois le claquage évité, il faut avoir qu'on se prend une sacrée décharge d'adrénaline, celle des limites, des homothéties (c'est pas comme certains disent un DS de 5 min 32), des dérivées, des cos contraignants et des sin sympathiques, voire même celle des congruences (là c'est le pied, on plane, je vous jure)
Moralité : le travail est une drogue à laquelle j'ai trop tôt cédé. Vous avez la chance de résister à l'outrecuidance gargantuesquement redoutable du travail. Pendant que je m'évertue à trouver ma satanée primitive, j'ai une pensée envers vos sourires satisfaits devant vos destructeurs, vos usines de nanites et vos lanceurs de plasma. Je vous met en garde : LE TRAVAIL TUE et, moi, simple mortel, ma destinée est toute tracée....................